Le Tigre déconfiné N°70
est paru
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Il est consacré à Jean Philippot. Ce professeur d’histoire et géographie du Lycée fut comme nombre de ses collègues mobilisé en septembre 1940.
Notre amie la géographe Danielle Rapetti à conservé de belles archives : des petites notes écrites par Jean Philippot alors qu’il encadrait des soldats sur le front.
Grand merci à elle.
On sait que Jean Philippot devint le maire de Nantes à la Libération, mais c’est là une autre histoire.
JLL
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Des lecteurs et des lectrices
du Tigre déconfiné
réagissent
Jean-Paul Bouchoux, le 11 octobre 2025
« Merci à Madame Rapetti pour ce nouveau numéro du Tigre consacré à Jean Philippot. La comparaison de son expérience avec celle de Julien Gracq est également très intéressante. »
Evelyne Kirn, le 11 octobre 2025
Denis Degan, le 11 octobre 2025
« Étrange numéro, étrange bonhomme aussi, et pas dénué d’intérêt. »
Sylvie Bossy-Guérin, le 12 octobre 2025
» Merci effectivement pour ce texte très intéressant.
J’ai bien apprécié le clin d’œil aux ballons …indispensables aux soldats lors des deux guerres pour se changer les idées. »
Claire Soléranski-Chambon, le 12 octobre 2025
« Merci, je ne vais pas répéter tout ce qui a déjà été dit, mais bravo pour tout le travail accompli et pour le partage. »
Jean Bourgeon, le 13 octobre 2025
» Bonjour Jean-Louis
La dernière livraison du « Tigre… » m’a beaucoup intéressé, par son sujet, la qualité de son auteur et la présentation faite par Danielle Rapetti.
Fils de combattant breton de 1939-40 j’avais ressenti à la lecture des « Manuscrits de guerre » de Julien Gracq cette distance hautaine, pour ne pas dire mépris, du lieutenant Poirier vis-à-vis des soldats que Danielle Rapetti évoque très bien.
Certains mots de Jean Philippot font aussi écho à ceux de Marc Bloch, dans « L’étrange défaite », l’historien soulignant l’impréparation de l’armée et une forme de trahison de certaines élites.
Trahison ressentie par mon père, combattant sur le front de la Somme, début juin 1940, abandonné avec ses camarades par ses supérieurs et continuant malgré tout le combat jusqu’au 18 juin où il sera fait prisonnier près d’Orléans. Plus tard il s’évadera et rejoindra le Limousin, terre de résistants.
Merci de ce précieux document.«