Romancière,
poétesse,
professeure de philosophie,
Carine Gaubert – Le Bourdon
est aussi une ancienne élève
du
Lycée Clemenceau
où elle a été de 1987 à 1992
Un avis autorisé
et sans complaisance
celui de Joël Gaubert
Répondant à un lecteur intéressé :
« il y est aussi question de bien d’autres choses que de la psychanalyse elle-même, notamment du contexte historique (très « documenté », comme on dit maintenant), mais aussi et surtout, bien entendu, de l’histoire singulière de cette jeune femme qui s’émancipe par l’amour de la lecture et de l’écriture, mais aussi de ses proches, à commencer par son mari (leur relation conjugale donne lieu à de très belles analyses). La plus grande qualité de ce roman est sans doute son écriture (comme tu l’évoques aussi), très claire et précise, dans un niveau de langue très soutenu mais fluide, qui appelle toujours le lecteur à la compréhension des choses et sans pédanterie aucune. C’est aussi ce que nous en disent les premiers échos de lecteurs : nous comptons beaucoup sur le bouche à oreille, oral et écrit. Donc : grand merci et belle lecture à toi, cher Jean-Louis ! »
Une oeuvre importante à tous points de vue
Jean-Louis Liters