2017/12/19 – Décès d’Irène Fabre, ancienne professeure d’Espagnol


Un nouveau décès

parmi les professeurs retraités

du lycée Clemenceau,

 

celui d’Irène Fabre,

 

qui a enseigné l’espagnol

en classes préparatoires de 2003 à 2007.

 


 

Son mari, Rémi Fabre, apporte les précisions suivantes

 

Au terme de sa cruelle maladie, Irène est morte à la maison mardi 19 décembre 2017 dans la paix entourée de tous les siens et d’une belle équipe médicale.

Nous lui rendons un dernier hommage à La Chapelle-sur-Erdre samedi 23 décembre, à 14h au cimetière, puis à 15h salle Jean Jaurès (rue Jean Jaurès) où nous lui disons adieu.

Chacun peut s’y associer par la présence, par le témoignage, par la pensée.

Merci à tous ceux qui l’ont aimée.

Rémi Fabre,

17 rue de la Mongendrière,

La Chapelle-sur-Erdre, 44240

 


 

Un hommage de sa collègue et amie Annie-Claire Porcher

 

Notre collègue et amie Irène Fabre vient de nous quitter, après une cruelle maladie, qui l’aura emportée en à peine plus d’un an.

Enseignante enthousiaste et généreuse elle a beaucoup aimé transmettre aux jeunes générations sa langue et sa culture d’origine. Fille de républicain espagnol réfugié de la guerre, elle avait été formée dans son village de Mazères (Ariège) par l’école de la République. Elle en avait gravi tous les échelons : élève à l’Ecole normale de Toulouse, institutrice, PEGC,  professeure certifiée  d’espagnol, puis professeure agrégée.

Après quelques années passées à Rouen, elle avait enseigné à la Colinière pendant une quinzaine d’années, puis était arrivée à Clemenceau en 2003, nommée en Classes Préparatoires. Elle avait pris sa retraite en 2007.

Irène se passionnait pour l’Espagne et l’Amérique latine, et pour son métier qui emplissait sa vie.

 

Elle donnait sans compter aux autres, et en particulier à sa famille, à qui nous pensons avec affection.

 

Nous n’oublierons pas sa chaleur humaine, sa droiture et sa générosité.


Nous présentons nos très sincères condoléances

à sa famille,

et à ses amis, anciens collègues,

« Georges »