2022/01/02 – Disparition de Gilbert Miossec, ancien professeur de lettres classiques


Nous apprenons

avec une profonde tristesse

le décès

de notre ami

 

Gilbert Miossec.

 

Il est décédé ce dimanche matin à Rennes, à l’hôpital où il était entré jeudi dans la nuit.

Il sera inhumé à Rennes où depuis quelques mois il résidait.

Gilbert, professeur de lettres classiques, français, latin et grec ancien, a marqué nombre d’élèves des lycées Jules Verne et Clemenceau.

C’est un homme d’une grande culture et d’une grande finesse qui nous quitte.

 

Gilbert était membre du Comité de l’Histoire du Lycée Clemenceau.

 

Nous adressons à son épouse, notre amie Edmonde, et à leurs trois enfants, nos plus sincères condoléances.

 

On peut joindre Edmonde Miossec

au

89 avenue Aristide Briand 35000 Rennes

(téléphone mobile disponible sur demande)

Jean-Louis LITERS

 

 

 

Les obsèques de Gilbert Miossec

ont eu lieu

ce jeudi 6 janvier

à 10h30

à l’église Sainte Jeanne d’Arc à Rennes.

 

 

Notre amie Edmonde nous précise qu’elle et Gilbert sont arrivés à Nantes en 1972. Gilbert a quitté en 1990 le lycée Jules Verne pour le Lycée Clemenceau où Edmonde a passé elle-même 28 ans.

Leurs enfants ont été élèves au Lycée Clemenceau : Vincent en terminale et classes préparatoires, Anne au second cycle et en prépa, Claire au second cycle seulement.

 

L’un des anciens élèves de Gilbert Miossec, Maël Renouard, m’écrivit le 3 janvier dernier :

« Je suis triste d’apprendre le décès de Gilbert Miossec – mais vous m’aviez en effet appris son état de santé. Il fut dans ma génération l’un des professeurs les plus flamboyants du lycée. Rémy Duthille qui l’a eu davantage que moi comme professeur en parlerait mieux que moi. Ses anciens élèves se souvenaient longtemps après de séquences mémorables de ses cours. Ceux que je connaissais se répétaient en boucle cette citation de Claudel qu’il avait proféré avec exaltation devant eux et qui les avait laissés pantois: « Au prix du pur miroir, qu’est-ce pour moi que la transmutation de vos tragédies et de vos parades ! » (Je cite de mémoire, peut-être inexactement) »

JLL